Article de presse...

Publié le par Mr X

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Mr X.


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M
C'était une bombe à retardement allumée cet été. Rien n'y a fait. Ni la mobilisation des salariés, ni leur recours devant les tribunaux. La reprise du centre d'appels SFR de Toulouse par Infomobile, filiale de Téléperformance, est effective depuis le 1er août. Deux mois plus tard, le climat social s'est dégradé dans des proportions alarmantes. « Les gens n'arrivent plus à tenir le choc. On ramasse les morts et les blessés » parmi les ex-salariés de SFR, indique d'une seule voix les représentants de l'Intersyndicale CFDT-CFTC-CGT-UNSA. Deux tentatives de suicide sur le site. Six accidents du travail depuis le 1er août. Plus de mille visites auprès de la cellule psychologique mise en place. Un taux d'absentéisme multiplié par 3, avec 3 700 jours d'arrêts de travail en septembre. Une situation de stress et de fatigue morale énorme. La moitié du personnel sous antidépresseur. Et les anciens n'ont qu'une idée, fuir cette fournaise… » L'intersyndicale du site toulousain, dénonce « des méthodes de nettoyage au Karcher » pour pousser les anciens de cette plateforme toulousaine vers la sortie… « À ce jour 204 dossiers de départ volontaires ont été acceptés sur un effectif de 650 personnes. « D'ici fin octobre, plus de la moitié des anciens salariés auront fait la démarche pour quitter le site », constate Frédéric Metche, élu CHSCT Infomobile. « La direction admet le malaise des salariés mais ne donne pas aux organisations syndicales les moyens de construire quelque chose ensemble », déplore Éric Denjean, délégué CFDT. « Ce n'est rien d'autre qu'un plan social déguisé. Les conditions de travail, les cadences sont infernales. Nos conditions sont maintenues pendant un an et après on perd tous nos avantages. Ils embauchent des jeunes au SMIC sous forme de contrat de professionnalisation. Et ils ont du mal pour recruter… » reprend Philippe Tréhout délégué syndical central à Infomobile. Dans les rangs des ex-SFR, « seuls les plus solides s'en sortiront. Les autres sont déjà aux Assedics », ajoute l'un d'eux. Convaincu aussi que la plateforme toulousaine, port Saint-Etienne, est elle aussi, en sursis.<br /> <br /> Contactée, la Direction d'Infomobile n'a souhaité faire aucune déclaration.<br /> <br /> <br /> --------------------------------------------------------------------------------<br /> <br /> Toulouse : même scénario pour le centre d'appels de la Redoute?<br /> L'externalisation des centres d'appels, avec recours à un sous-traitant est aussi a à l'ordre du jour à la Redoute. La Direction de VAD (Vente à distance) la Redoute a annoncé le transfert de 5 de ses Centres d'appel français, dont le celui de Toulouse, rue de la Caravelle, à un prestataire de service, Téléperformance. 185 salariés sont concernés dont 25 sur le site toulousain, avec des télé conseillers qui travaillent dans l'entreprise parfois depuis plus de 30 ans. L'inquiétude est palpable, voire comparable au scénario des salariés de SFR depuis leur transfert cet été à Infomobile, une filiale de Téléperformance. « Notre contrat de travail est maintenu pendant un an et après on perd tous les avantages », indique une employée La Redoute, 20 ans d'ancienneté. Les organisations syndicales sont montées au créneau. Hier un représentant de la direction de la Redoute est venu sur place, à Toulouse.
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S
--------------------------------------------------------------------------------<br /> <br /> <br /> Article du mardi 9 octobre 2007 <br /> <br /> La Redoute «externalise» son centre d'appels de Lyon <br /> <br /> <br /> Les salariés du centre d'appels de Gorge-de-Loup refusent d'être transférés à une société extérieure <br /> <br /> <br /> «La Redoute veut se débarrasser de nous. Elle veut nous transférer dans une société extérieure, où nos conditions de travail vont se détériorer et où nous allons perdre nos avantages actuels », expliquent Sandrine Samouiller et Jean-Philippe Billard, délégués SUD des salariés du centre d'appels de La Redoute à Lyon. <br /> La mauvaise nouvelle est tombée en effet vendredi, lors d'un comité d'entreprise à Roubaix (Nord). La direction a présenté son projet de transfert de cinq centres d'appels situés à Lyon, Bordeaux, Marseille, Nantes et Toulouse. Les 185 salariés de ces centres, dont une trentaine à Lyon, doivent être transférés à la société Téléperformance. <br /> Ainsi à Lyon, Il est prévu que Téléperformance reprenne les locaux et les salariés de la Redoute, qui devront de ce fait changer d'employeur. « Nous refusons d'aller chez Téléperformance. Nous avons mené une consultation interne, une large majorité des salariés est opposée à ce transfert », affirment les deux délégués. <br /> Pourquoi une telle opposition ? « Ce prestataire de services gère des gros centres d'appels qui ne travaillent pas du tout comme nous », répondent Sandrine Samouiller et Jean-Philippe Billard. Parmi les principaux inconvénients, ils citent notamment des amplitudes horaires plus fortes, plus de pression sur les opératrices et l'obligation de respecter des temps de communication très courts. De plus, les salariés lyonnais ne veulent pas changer de convention collective et souhaitent conserver les avantages qu'ils ont actuellement à La Redoute, notamment l'intéressement. <br /> « Pour le moment on nous donne le choix soit de suivre Téléperformance, soit de démissionner. Nous voulons une porte de sortie, soit en licenciement économique, soit sous forme de stage Fongecif », précisent-ils. <br /> D'autant que la confiance ne règne pas sur la pérennité des emplois proposés. « La Redoute soigne son image. La direction se targue de ne licencier personne, mais il y a fort à parier que le prestataire où on veut nous envoyer transférera ensuite l'activité à sa filiale tunisienne ». <br /> « Nous avons déjà travaillé avec Téléperformance, ils ont un gros volume d'appels, cela assure à nos collaborateurs la possibilité de conserver leur emploi sur le même lieu de travail, et aussi celle de pouvoir progresser dans l'entreprise, dont la gestion d'appels téléphoniques est le coeur de métier », répond un porte-parole de La Redoute. <br /> En attendant, les salariés concernés prévoient de faire grève. Ils dénoncent aussi cette décision prise par une société appartenant au groupe Pinault Printemps Redoute, « qui réalise de gros bénéfices ». <br /> Christian Hédou chedou@leprogres.fr<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Tous droits réservés. © Le Progrès 2007
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M
Ouest France<br /> <br /> 15:27 - vendredi 05 octobre 2007<br /> La Redoute transfère le centre d'appels de Nantes vers la société Téléperformance<br /> A Nantes, les 43 salariées du centre d'appels de la Redoute sont sous le choc. Elles viennent d'apprendre que leur activité serait transférée vers la société Téléperformance. Elles changeront d'employeur, mais conserveront leur contrat et resteront sur le même lieu d'activité. Néanmoins, elles craignent de perdre certains acquis et de voir leurs conditions de travail se dégrader: "C'est injuste, vu notre investissement dans la société et notre savoir-faire", disent-elles. La Redoute transfère à Téléperformance quatre autres centres d'appel: ceux de Lyon, Bordeaux, Toulouse, Marseille.
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M
La Provence<br /> <br /> La Redoute cède son centre d'appels de Marseille1 réactionPublié le vendredi 5 octobre 2007 à 15H15<br /> <br /> Depuis son siège social à Roubaix (Nord), la direction de La Redoute a présenté aujourd'hui un projet visant à céder cinq centres d'appels téléphoniques, dont celui de Marseille, à la société Téléperformance. <br /> <br /> Cette opération concernerait 185 salariés. Le risque selon le syndicat Sud-VPC est que ce nouveau prestataire pourrait, par la suite, transférer l'activité à sa filiale tunisienne.
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M
LA REDOUTE. <br /> CENTRES D’APPELS externalisés. Le groupe La Redoute vient d’annoncer le transfert de cinq de ses centres d’appels à un prestataire externe Téléperformance. 185 salariés des sites de Nantes, Bordeaux, Lyon, Marseille, et Toulouse sont concernés. Le syndicat Sud VPC, redoute que ce nouveau prestataire ne transfère sous peu l’activité à sa filiale tunisienne. Il appelle donc la direction à négocier une porte de sortie pour les salariés qui ne souhaitent pas intégrer Téléperformance.<br /> Le télégramme
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